TO ME YOU'RE PERFECT.

Parce que j'ai l'impression d'être humaine
Quand je voudrais être une princesse;
Parce que j'ai l'impression d'être une princesse
Quand je suis comme un enfant;
Parce que j'ai l'impression d'être femme
Quand tu me montres que je suis désirable;
Parce que j'ai l'impression d'être sauvage
Quand le lit ne tient pas sous le poids de notre amour;
Parce que j'ai l'impression d'être folle
Quand tu es le seul à voir que je suis simplement malade;
Parce que j'ai l'impression d'être forte
Quand j'ai envie d'aller au delà de ma maladie pour toi;
Parce que j'ai l'impression d'être fragile
Quand tu me prends dans tes bras;
Parce que j'ai l'impression d'être une loque
Quand tu me laisses traîner au lit toute la journée;
Parce que j'ai l'impression d'être une superwoman
Quand mes journées sont trop remplies pour tout faire;
Parce que j'ai l'impression d'être une cérébrale
Quand tu me rappelles mes qualifications;
Parce que j'ai l'impression d'être une artiste
Quand tu me pousses à écrire dans les moments de vide;
Parce que j'ai l'impression d'être utile
Quand je contribue à ton bonheur;
Parce que j'ai l'impression d'être unique
Quand tu me lances ton regard amoureux;
Parce que j'ai l'impression d'être la bonne
Quand tu me parles de mariage et d'enfants.

LE SYNDROME DE LA "PAGE BLANCHE".

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Que pourrais-je bien écrire? Peut-être qu'en écrivant mes pensées l'inspiration viendra d'elle même. C'est toujours plus simple d'écrire sur une page déjà noircie. 

D'ailleurs "page blanche" et "noircir" ne veulent rien dire. Ce sont des expressions mais, quand on y pense, le papier est, et a rarement été, blanc. Aujourd'hui ces expressions valent encore moins puisque beaucoup d'écrivains travaillent sur ordinateur. Mais en un clic, ma page peut être rouge, orange, ou même noir. Et dans ce cas là je pourrais verdir, rosir, ou même blanchir des pages. 
Personnellement j'aime mieux travailler sur ordinateur: on peut apporter des modifications à un texte plus facilement, le travail est toujours bien gardé - si l'on prend les bonnes précautions - et accessible partout.

Quoi qu'il en soit, que l'on travaille sur papier ou sur ordinateur, que la page soit blanche ou noire, le syndrome reste le même et je crois qu'il m'envahit aujourd'hui. 

Ô, toi, pauvre lecteur ! Que ne subis-tu pas à lire mes pensées qui ne devraient pas apparaître ici? Non, tu ne peux pas les lire puisque ceci n'est pas un texte. Ce n'est qu'un étalement de mots insignifiants qui est supposé me donner de l'inspiration et me faire écrire. Je constate que c'est un échec.

Je n'ai rien à écrire.