CADAVRE EXQUIS.


Mon esprit prit dans cet étau,
Cerné par d'infini maux,
Porte ton amour comme un fardeau
Plutôt que le voir comme un cadeau,
La tristesse revenant au grand galop.
Elle me consumera bientôt,
Emportant les souvenirs les plus beaux,
Me remémorant aussitôt
La douceur de ta peau.
Je me vois comme mon propre bourreau,
Un prisonnier voulant fuir son cachot,
Pour m’éloigner de ces sentiments de trop
Qui coulent sur moi comme coulerait de l'eau.
Alors on se quittera sans un mot,
Se disant qu'on a déjà vécu le plus beau.
A travers le temps, nos âmes feront écho.

Jessy & Eight_Loop

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